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Au fil des années, PARIS MON AMOUR devient un sujet de conversation dans les diners en ville, trouve un relais dans les communications web.
Les parisiens, collectionneurs ou pas, les historiens, les archivistes, ouvrent les yeux. Ils comprennent qu’il faut sauver, protéger ce patrimoine esthétique. Et leur amour de Paris se développe encore davantage. D’autant que chaque édition comporte une pièce exceptionnelle comme, par exemple, des lustres du Palais d’Orsay qui éclairaient le bâtiment de la gare conçue pour l’exposition de 1900. Ils aiment également acquérir des objets emblématiques de leur quartier.
Les étrangers et les parisiens ne sont plus les seuls à se positionner pour acquérir une partie de l’âme de Paris. Mairies, institutions, musées sont désormais de plus en plus intéressés. Il aura fallu l’énergie, l’enthousiasme, la passion de la maison LUCIEN PARIS pour qu’un « stop » au carnage voit le jour. Dans cet élan, le célèbre musée des arts forains, dans le douzième arrondissement parisien est d’ailleurs en train de recons- tituer une rue parisienne.
PARIS MON AMOUR fait partie de ces ventes qui font vibrer l’anticonformiste com- missaire-priseur. Elles donnent du sens à son métier ! Un sentiment de devoir accompli l’enchante quand, par le biais des lots insolites, historiques, il transmet l’amour de la capitale, invite à un voyage dans le temps.
Paris est visuelle. Paris a une énergie différente selon les saisons. PARIS MON AMOUR est là pour le rappeler.
Du 15 et 18 juin prochain (expositions et ventes)
dans les salles 5 et 6 de Drouot, la maison LUCIEN PARIS
distillera pour la quatorzième fois, des morceaux de ce qui fait l’unicité de Paris.
En savoir plus : www.lucienparis.com


































































































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