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Les collectionneurs se l’arrachent, certains joailliers la gardent jalousement attendant l’occasion de la sublimer. Pendant près de dix ans, sa légende de pierre rarissime s’écrit.
En 2001, une nouvelle vague de tourmalines entre en scène. Illuminées de ce vert bleu néon caractéristique, elles sont extraites des montagnes riches en cuivre du gisement d’Edeko au Nigéria, puis en 2005 de celui d’Alto Ligonha au Mozambique.
Elles ne parviendront pourtant jamais à égaler ce bleu radiant semblable à un rayon de soleil traversant l’océan. Il faudra se battre pour leur donner l’appellation « Paraïba » qui leur est finalement accordée par l’International Gemstone Society (IGS).
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