references
L’eau n’a jamais cessé d’exercer sa fascination sur Monet et il
« J’ai repris des choses impossibles à faire… de l’eau avec de l’herbe qui ondule dans le fond…C’est admirable à voir, mais c’est à rendre fou de vouloir faire ça. Enfin, je m’attaque toujours à ces choses là ! »
Ode à la vie, son jardin fut pour Monet l’un de ses biens les plus précieux. Il le peignait dans l’éternel ravissement de ses changements perpétuels. Blanche, « l’ange bleu » de ses fleurs, fille de son épouse et femme de son fils Jean, était une des seules à qui il confiait ce lieu sacré. Il pouvait ainsi partir en sa quête de la beauté de l’instant, à l’assaut de ses cathédrales de lumière ou de ses séries de meules de foin. Peintre infatigable de l’absolu, artiste de l’impression de l’émotion, il admirait l’art japonais. écrit le 22 juin 1890