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Ce solitaire, qui aime plus que tout plonger au fond de l’ombre pour y retrouver la lumière et extirper la couleur de la divine noirceur, s’est nourri du mysticisme des œuvres d’un Georges de La Tour, du clair obscure du Caravage. Il est fasciné par Dürer et Altdorfer, pour cet effet grisé de la gravure et s’est découvert une passion récente pour le trop méconnu Hercule Seghers. Ces artistes ont comme lui fait le voyage de l’obscure pour regarder leurs âmes et en saisir l’essence la plus lumineuse, la plus pure et toucher l’instant ultime du souffle de l’éternité dans la temporalité.
Et c’est de son introspection que naît notre émotion…