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Leonardo da Vinci
est connu, reconnu pour être un des grands maîtres des « sciences de l’art » et depuis des siècles les plus grands talents ont été boire à la source vive de son travail colossal de l’infiniment petit à l’infiniment grand.
Dès son époque Raphaël et Michel Angelo ont plongé leurs âmes dans l’étude des secrets de la lumière du Maître. Lui-même n’a jamais cessé son introspection pour tendre vers l’essence divine de LA Création, celle du Grand Architecte, de l’Univers, de Dieu, quel que soit le nom qu’on lui donne ou qu’on lui refuse.
Michel-Ange, Michelangelo di Lodovico Buonarotti Simoni, dit (1475 – 1564), La Vierge, l’Enfant et sainte Anne – Un nu masculin. Vers 1504-1505. Plume et encre brune, reprise en partie à la pierre noire, peutêtre avec quelques incisions au stylet, Paris, département des Arts graphiques, musée du Louvre, INV.685 ro © RMN / ThierryLe Mage
Dans la plus fragile de ses esquisses, le plus petit de ses traits de Sanguine ou de Pierre noire dans son célèbre, inimitable, « sfumato » (dégradé en italien) halo lumineux né de l’estompe, Leonardo da Vinci déchire le voile des mystères de l’univers d’un trait bouleversant de pure humanité. Il est tant de prétendus et autoproclamés créateurs qui se targuent de faire des splendeurs. Lui a travaillé sans relâche, sans que rien ne puisse arrêter sa fabuleuse quête de LA Connaissance. Même paralysé de la main droite, il continua à travailler de la gauche.